A la Maison de la Culture du Japon- www.mcjp.asso.fr

Au printemps 2003, une grande rétrospective se déroulera à la maison de la culture du Japon avec une présentation d'une dizaine de films inédits. En dehors de la sélection des incontournables qui ont permis de redécouvrir un cinéma jugé mort après la disparition des cinéastes de l'âge d'or (Takeshi Kitano ... ), la programmation fait la part belle à des réalisateurs malheureusement jamais distribués en France comme Makoto Shinozaki, auteur du fabuleux Okaeri, ou encore Takahisa Zeze, cinéaste underground. Une sélection plus traditionnelle est aussi disponible avec des films comme Tampopo qui a eu un succès commercial mérité. Une occasion inespérée de découvrir une nouvelle partie de la culture japonaise. La rétrospective se déroule en deux parties, du 28 janvier au 15 mars, puis du 1 er au 30 avril. A noter que certaines projections sont gratuites : on aurait tort de se priver!

Le Japon présent au festival de Cannes- http://www.festival-cannes.fr/

Pour la 56ème édition du festival de Cannes se déroulant du 14 au 25 mai 2003, les longs métrages japonais en compétition seront:
- AKARUI MIRAI de KUROSAWA Kiyoshi
- SHARA de KAWASE Naomi

La Cinéfondation qui présente à l'occasion de chacun des festivals de Cannes depuis 1998 une quinzaine de courts et moyens métrages d'écoles de cinéma, présentera le moyen-métrage HITOKOROSHI NO ANA de IKEDA Chihiro de l'école du film de Tokyo.

Pour la quinzaine des réalisateurs, le film Gozu de MIIKE Takashi a été sélectionné, ainsi que deux moyens métrages d'animation:
- NASU: ANDALUSIA NO NATSU de KOSAKA Kitaro, un ancien des studios Ghibli
- NTERSTELLA 5555: THE 5TORY OF THE 5ECRET 5TAR 5YSTEM de MATSUMOTO Reiji, avec une musique signée Daft Punk

Critiques partagées pour le film - http://dolls.supergazol.com

Au printemps 2003, une grande rétrospective se déroulera à la maison de la culture du Japon avec une présentation d'une dizaine de films inédits. En dehors de la sélection des incontournables qui ont permis de redécouvrir un cinéma jugé mort après la disparition des cinéastes de l'âge d'or (Takeshi Kitano ... ), la programmation fait la part belle à des réalisateurs malheureusement jamais distribués en France comme Makoto Shinozaki, auteur du fabuleux Okaeri, ou encore Takahisa Zeze, cinéaste underground. Une sélection plus traditionnelle est aussi disponible avec des films comme Tampopo qui a eu un succès commercial mérité. Une occasion inespérée de découvrir une nouvelle partie de la culture japonaise. La rétrospective se déroule en deux parties, du 28 janvier au 15 mars, puis du 1 er au 30 avril. A noter que certaines projections sont gratuites : on aurait tort de se priver!